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Éditions Edilivre
Vincent Larnicol sur le site Agence Bretagne Presse met en avant ses ouvrages
Le site Agence Bretagne Presse dresse le portrait de Vincent Larnicol. L’occasion pour l’auteur de présenter ses ouvrages
VINCENT LARNICOL, AUTISTE ET ARTISTE ECLECTIQUE
Il sera un des invités du salon du livre de Lanvollon qui se déroulera le 20 avril 2019 pour sa septième édition.
Originaire de Plérin, natif de Saint-Brieuc, Vincent Larnicol, jeune auteur de 23 ans, s’est forgé un monde de création correspondant trait pour trait à sa personnalité. Passionné par sa Bretagne natale, il en fait une matière prépondérante, un imaginaire éclectique. De quoi compenser le syndrome d’Asperger, une forme particulière d’autisme, depuis l’âge de trois ans.
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A-propos des livres :
Encore combien à attendre
« Encore combien à attendre, combien à attendre, combien à attendre… » disait Noir Désir… Oui, encore combien à attendre du talent du grand Vincent ?
En première partie, l’auteur partage des textes et fragments faits essentiellement pour des concours, mais qui n’ont pas été pris d’assaut par les jurys…
Et en deuxième partie, vous trouverez quelques poèmes faits à ses heures perdues…
L’auteur vous laisse découvrir ses derniers instants volés, car maintenant, il va falloir qu’il passe aux choses sérieuses…
Les Guerriers de Bréhat
« Nous avons vécu l’horreur à deux reprises durant l’année 2015. Comme tout le peuple français, je condamne au plus haut point les attentats qui ont ensanglanté Charlie Hebdo et la capitale. Mais aussi, ceux de Bruxelles, survenus le 22 mars 2016. »
À la veille de la Fête Nationale du 14 Juillet, sur cet archipel où siège la paisible Ile-de-Bréhat, il n’existe pas une seule part de ce monde où règne la violence. Mais derrière ce décor digne d’une aquarelle ou d’une carte postale, se cachent des âmes de guerriers prêtes à se battre pour sauver leur royaume…
Loin où va la rose
L’amour… Oui, l’amour… Quand il s’en va, tout s’en va. Ce voyage, il va l’accomplir une dernière fois, tout en gardant la foi. Il s’est promis d’échapper au désespoir.
Serge Joncour, « oncle spirituel » de l’auteur, a dit : L’amour comme une douleur, une douleur qui ne doit pas faire mal.
Un amour est toujours bouleversant à voir, à entendre. Et cette douleur, pour la vaincre, le narrateur l’a fait pour elle. C’est cette histoire que nous conte Vincent Larnicol… au milieu du vent.
Mémoires enfouies de Coco-Beach
L’auteur rend ici hommage à Fabienne Juhel. Grâce à ses nombreux ateliers d’écriture de février à juin 2014, sur Les Noces à Tipasade Camus, La Première Gorgée de bière et autres plaisirs minuscules de Philippe Delerm, Victor Hugo et sa lettre à Juliette Drouet.
Il a alors imaginé remonter loin dans le temps, à l’île de la Réunion, sur les environs de Coco-Beach, rien que pour sa mère, partie trop vite. Il a alors suffi qu’il fouille dans un de ses tiroirs pour tout se remémorer…
« Laissons-nous porter une dernière fois par le vent et le soleil avant que tu ne partes… Ma chère petite maman… ».
Champ Libre au Démon
« Enfin, j’ai osé. Et je l’ai fait. Ma conscience a basculé de l’autre côté, en enfer… Si je n’avais pas bu de cet Alcool du Diable, l’autre soir, je ne me serais jamais laissé métamorphoser dans cette vie devenue démoniaque, sans retour. Comment tout cela a t-il commencé ? »
Jamais une fille, débarquant à l’improviste un jour d’orage dans un amphi de Rennes 2, n’avait su à ce point envoûter le regard d’un garçon sans histoire. Et pourtant…
Lokienn et Louyenne
Un homme et une femme incarnent deux sirènes. Il est Lokienn, elle est Louyenne. Séparés, chacun de leur côté, des lisières d’une clairière embrumée au fin fond du royaume de Bretagne, ils s’enfoncent dans cette espèce de mélancolie qu’on appelle nostalgie. La petite reine du royaume, Anne, leur en fait part et leur montre le chemin qui mènera vers ce miracle qu’on appelle amour… Mais pourquoi éprouver de l’amour pour remédier à la nostalgie ? L’amour ouvre-t-il toujours un champ des possibles ? Y-a-t-il un prix à payer ?
Cet ouvrage est inspiré d’une relecture du roman Les Hommes Sirènes de Fabienne Juhel (Le Rouergue, 2011) dont quelques citations illustrent de part et d’autre cette légende.