Posté par
Flora
Les vices cachés des écrivains célèbres
C’est bien connu, les apparences sont souvent trompeuses. Même les plus grands génies peuvent cacher des vices insoupçonnés. Nous vous proposons aujourd’hui de découvrir la face cachée des plus grands écrivains. Une plongée intime au cœur de la tourmente . .
L’alcoolisme et la tristesse
La mélancolie a donné vie aux plus beaux vers… Tout comme l’absinthe et la vodka ! Baudelaire et Verlaine ne vous diront pas le contraire. Les deux poètes maudits noyaient fréquemment leur désespoir dans l’alcool : le premier en proie au « spleen » et ses vieux démons, le second tiraillé entre sa femme et son amour pour
Rimbaud.
Plus que ses deux confrères, Musset devint alcoolique très jeune. Constamment confronté à des crises hallucinatoires, le poète sombra dans une telle folie que George Sand décida d’écourter leur passion. Sa santé se dégradant, il mourut à 46 ans… Fitzgerald a lui aussi préféré la bouteille à l’écriture dès que Zelda, l’amour de sa vie, fut internée à l’hôpital psychiatrique en raison de sa schizophrénie… L’auteur de Gatsby le magnifique a sombré dans un alcoolisme violent qui le fit d’ailleurs dépérir.
La drogue, ce « paradis artificiel »
Le mal-être est donc parfois source d’inspiration… Et certains grands auteurs ont tenté d’enterrer leur chagrin à travers des substances diverses. Sartre avait trouvé en la mescaline une fidèle amie qui lui valut des hallucinations plutôt originales, comme le fait d’être poursuivi par des homards géants sur les Champs-Elysées… Nabokov, lui, était accroc à la morphine, tandis que Baudelaire, toujours fidèle au poste lorsqu’il s’agit d’addictions, était un fanatique de haschisch. L’auteur des Fleurs du Mal a d’ailleurs fait son apologie dans un poème plutôt explicite.
Parmi les contemporains, Hunter S. Thompson ou encore Frédéric Beigbeder ne sont pas en reste non plus. L’auteur de Las Vegas Parano était un habitué de mescaline, LSD et marijuana… jusqu’à ce qu’il mette fin à ses jours en 2005. Quant à Beigbeder, c’est la cocaïne qui l’a inspiré pendant des années. Mais rassurez-vous, l’auteur de 99 F est désormais on ne peut plus clean !
Des preuves d’amour… atypiques
Certains auteurs sont romantiques à souhait. D’autres, en revanche, nous épatent par leur manque de classe et de moral. James Joyce écrivait des lettres d’amour pornographies et bien vulgaires à son amoureuse, Nora, qui en fut d’ailleurs lassée avec le temps. Lord Byron, lui, était un séducteur invétéré. Sauf que parmi ses conquêtes, on peut citer sa demi-sœur, Augusta Leigh, sa cousine Margaret Parker et son jeune protégé, John Edleston… Enfin et sans vouloir trop stigmatiser, Lewis Caroll était un diacre anglican sans femme ni enfant. Pourtant, l’auteur d’Alice aux Pays des Merveilles aimait vraiment les enfants… Il aurait même demandé en mariage la petite Alice qui lui a inspiré son chef d’œuvre alors qu’elle n’avait que 11 ans. Charmant !
Que pensez-vous de toutes ces révélations ? Choquantes ou amusantes ? En connaissez-vous d’autres ?