Rencontre avec Nina Padilha, auteure de  » L’Empreinte de Yarka « 

Dans quelle région habitez-vous en France ?
J’habite le département de l’Hérault, presque en bord de mer.

Présentez-nous votre ouvrage ?
L’empreinte de Yarka peut être classé dans la catégorie des romans de science fiction. Rien d’effrayant, toutefois. C’est plus une réflexion sur notre humanité… avec l’aide d’Aliens.

Pourquoi avoir écrit ce livre ?
Il était dans mes pensées depuis fort longtemps. Je suis poète. Un poème est un texte court. Un roman, c’est autre chose. Il doit avoir une colonne vertébrale, uns structure solide, qui tient la route. C’était un défi que d’écrire ce roman. Je me suis lancée…

À quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?
A toutes les personnes qui se posent des questions sur notre passé, notre avenir. A ceux qui sont interpellées par des choses qui restent inexpliquées. Ou pas. Un livre pour tous les curieux !

Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?
Le message est simple. Le respect des uns envers les autres, la tolérance, l’amour de son prochain, animal, végétal… Les limites que nous devrions observer.

Où puisez-vous votre inspiration ?
Dans ma petite tête ! J’ai beaucoup de cogitations en circuit fermé. Je me pose des questions. J’essaie d’y apporter des réponses.

Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?
Je travaille, actuellement, sur un autre roman. Mais chuuut ! Sinon, la poésie, encore et toujours.

Un dernier mot pour les lecteurs ?
Merci de me lire. Vous ne le regretterez pas ! (sourire)
La vie n’est pas délivrée avec un mode d’emploi. On ne peut pas changer le passé mais on peut donner une autre fin, plus souriante. Soyez heureux.