Rencontre avec Guy Crequie, auteur de  » Chroniques sur le monde et enjeux planétaires « 

Guy Crequie, pouvez-vous introduire votre Chroniques sur le monde et enjeux planétaires ? 
Ce livre traite des grands enjeux de notre millénaire engagé avec le souci pédagogique de transmettre à la nouvelle génération et des valeurs universelles, et les moyens de l’esprit et du cœur pour son autonomie citoyenne.C’est pourquoi : je soutiens la démarche de l’organisation internationale  » Nations Unies des lettres  » laquelle, avec son congrès  » Semences de jeunesse  » a pour but de transmettre les valeurs de paix et d’harmonie à la jeunesse par l’ouverture de son esprit et de son coeur, l’apprentissage de l’expression poétique et littéraire. Ceci, pour sa capacité autonome à appréhender le monde dans ses mouvements, avancées, et contradictions .

Quel est le message délivré par votre ouvrage ?
En quelque sorte, donner les clés de l’humanisme contemporain !

Avez-vous une prédilection particulière pour le genre de l’essai ?
Avec la poésie, c’est le genre habituel de mon intervention littéraire. L’intérêt de ce genre littéraire est celui que l’on peut analyser, développer et proposer, s’agissant d’un domaine ou de plusieurs relativement aux sujets sociétaux en matière de sciences sociales et humaines.

Vous écrivez aussi de la poésie. Comment alternez-vous ces deux formes littéraires ?
La poésie est là pour créer une émotion, réagir en quelques mots ou strophes exprimés selon en vers ou en prose. La poésie a un rythme, une musicalité, une beauté unique, ceci, alors que certains détracteurs estiment que la poésie contemporaine n’aurait plus rien à nous dire : magnifier la nature, rendre hommage à la femme l’avenir de l’homme, combattre les injustices, exprimer la paix et l’harmonie des cœurs et des corps, voici, quelques-unes de ses fonctions. Concernant l’essai, je m’attelle à ce genre littéraire lorsque ma conscience m’incite à le faire en fonction de l’actualité. A tort ou à raison, un écrivain ressent comme un appel à l’action, le besoin de se dévoiler par les mots.

Comment vous est née l’envie d’écrire ?
C’est mon expérience sociale antérieure de syndicaliste, et mon regard sur le monde proche ou éloigné : ses souffrances, attentes ou joies, qui ont suscité ma vocation. Je n’avais pas à chercher loin. Ma mère, fille d’un immigré italien, qui avait été peu de temps à l’école, était cependant d’une facilité littéraire étonnante. L’école de la République dans les années 20-30 était remarquable.

Avez-vous d’autres projets d’écriture dans les prochains mois ?
Je ne peux pas répondre à cette question. Depuis 2008, progressivement je me suis remis au chant lyrique et m’exprime lors de congrès internationaux de poètes, pour des ONG internationales de paix et d’harmonie, pour la fédération française des clubs UNESCO. J’avais été remarqué en 1962, pour le casting « Les numéros un de demain » d’Europe n° 1. Plus de 40 ans d’arrêt après, je me remets au chant, c’est un encouragement à celles et ceux qui…
Je vais enregistrer en mars mon second CD :  » Gil Conti en concert  » avec 10 titres-hommage à Mario Lanza considéré comme la plus belle voix du XXème siècle, mort en 1959 à 38 ans, et qui avait immortalisé Caruso au cinéma.

Aimeriez-vous rédiger un roman ?
Humblement, je pense ne pas en être capable, ce type de récit et de créativité n’est pas le mien.

Un dernier mot pour nos lecteurs ?
(Humour encore ). J’ai essayé d’être court et simple dans l’expression, afin de ne pas les lasser ; je les invite à lire les auteurs, les encourager, et pourquoi pas à s’essayer eux-mêmes à l’écriture.
Etre sans cesse sur les réseaux sociaux :c’est la loi du moment. Il faut être avec son temps, cependant, pour être capable d’avoir une vision sur notre monde qui va vite, parfois trop vite, lire les grands classiques et également les auteurs contemporains qui réfléchissent sur le sens de la vie et sa totalité. Voilà un noble dessein.