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Éditions Edilivre
Rencontre avec Évelyne Simoens, auteur de « Mon idole, ma divine idylle »
Présentez-nous votre ouvrage
La musique adoucit les mœurs. Des coutumes et bonnes habitudes qui se perdent aujourd’hui pour que nous soyons dans un état barbare. Peu de raffinement, beaucoup de vexations, de brimades. La communication se perd vers un individualisme forcené et orienté surtout vers toutes les valeurs matérielles. On n’en n’a jamais assez, assez d’argent, assez de pouvoir, assez de… tout.
Pourquoi avoir écrit ce livre ?
Quand on « en sort que par l’art ». On laisse les mots aiguilles, les mots durs. On envisage un autre paysage qui soulage que celui de l’argent et de la sexualité. Les célibataires sont loin d’avoir le vent en poupe mais, au fond, de quoi ont-ils besoin ? C’est alors que personne ne trouve ce qu’il veut. Les ado rit « tiens, voilà une œuvre d’art », on rit entre groupes d’amis et dans une demie insouciance, demie responsabilité pour l’âge en question.
Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?
Dire peut-être qu’il existe une poésie des temps modernes avec un sens caché, un exutoire.
Où puisez-vous votre inspiration ?
Dans la vie de tous les jours.
Un dernier mot pour les lecteurs ?
Bienvenue, « ouvre la porte, le soleil est à l’intérieur ».