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Éditions Edilivre
Rencontre avec Anthony Salaün, auteur de « Une prière pour deux Américaines »
Présentez-nous votre ouvrage
Les visions poétiques peuvent révéler un élément intérieur méconnu. Je me sers de la prose pour
l’esthétique du langage et la beauté des images. Ce texte est inspiré d’une poétique classique mêlée
de pop. Je le dois à deux Américaines.
Pourquoi avoir écrit ce livre ?
En hommage et à la consécration d’un amour pur, rationnel, platonique. Des sentiments forts et des
émotions peuvent aboutir à une explosion de sensations.
À quel lecteur s’adresse votre ouvrage ?
J’attends que la mode des thrillers soit endormie pour le confier à des créatures tombées au milieu
des étoiles. Comme son nom l’indique, il s’adresse aux deux Américaines.
Quel message avez-vous voulu transmettre à travers ce livre ?
Un message d’amour. Je peux, grâce à ce recueil, vivre et exister dans les yeux du cœur, faire lever
le soleil pour détruire le pays de l’indifférence. Il deviendra le compagnon idéal de mes rêves, dont
il incarne tous les bons penchants.
Où puisez-vous votre inspiration ?
Mes influences littéraires ont été Arthur Rimbaud, Jim Morrison et Robert Frost.
Quels sont vos projets d’écriture pour l’avenir ?
Une ballade américaine. C’est encore une source poétique inspirée par ce qui n’a cessé de faire
battre mon cœur. Le monde poétique de cette ballade est inévitablement ancré dans la réalité. Les
Fleurs Sauvages, par exemple, est l’exemple même de deux femmes-fleur, telles que les deux
Américaines. Car, immanquablement, les muses sont les plus inspiratrices et finissent par faire
réveiller le poète.
Un dernier mot pour les lecteurs ?
Loin de chanter un monde suranné, la littérature met en scène le classique et la modernité dans toute
sa magie. Des écrivains comme Shakespeare ou Rimbaud illuminent mon palais avec leur langage
immaculé et transmettent leurs œuvres par delà les siècles.