Livre

C'était mieux après

C'était mieux après

Par Didier Vailland

Thème : Roman de société / actualité

Date de publication : 02/03/2018

« Ce roman déborde d’enthousiasme. Vous voyagerez pendant presque un siècle en vous arrêtant sur le beau, sur les répercussions des innovations de 1930 à 2020, mais aussi sur ce qui vous attend, vous, vos enfants et petits-enfants.
Je vous annonce que le "meilleur est à venir".
Notre société ne nous apprend pas à faire selon notre cœur. Par réflexe, nous n’osons pas être enthousiastes, par peur de détonner, de passer pour un perturbateur, un original.
Ainsi, je vous propose de vous donner la permission d’être optimiste, même après la séparation d’un être cher et d’entrer dans ce roman avec bonheur, comme si vous glissiez dans les bulles d’un jacuzzi. »


  • Roman (134x204)
  • 76 pages
  • ISBN : 9782414199952
9,50 €
4,99 €
Papier
Numérique

Didier Vailland

Biographie

Didier Vailland

Qui est-il ? À 3 ans, il a déjà la maturité d'un enfant de… 3 ans. À 6 ans, il nage après avoir glissé du pont du bateau. Quelques mois après, il se rend compte qu'il n'est pas tout seul sur la planète bleue… issu d’une famille de dix enfants. Depuis il s'agite. À 8 ans, sa mère lui inculque « le sens du devoir », son père, « le sens du beau ». À 9 ans, il commence de courtes et stupides études. À 12 ans, il devient amoureux de sa cheftaine. À 16 ans, il est jeune et aime la vie. À 23 ans, il épouse une « étoile Sourire ». Pendant trente-trois ans, il bosse dans un domaine qui l'emmerde. À 40 ans, il lit un livre qui lui fait retrouver la foi. À 55 ans, il écrit des poèmes qui lui font croire en l'humanité. Pendant quelque temps, il s'arrête de produire pour penser. À 60 ans, il se rend compte qu'il a beaucoup de chance, bichonné par sa femme, ses trois filles et ses gendres, sa belle-mère, ses neuf petits-enfants. Il a traversé une épreuve à 53 ans, son cœur est de nouveau vaillant. À 63 ans il est passé au travers d’une saloperie de maladie à qui il a tordu le cou ! Nous voici en 2014, Didier a 67 ans et son cancer est vaincu ! Alléluia ! Il passe, à l’image de son père, l’essentiel de son temps à modeler la glaise, le fusain, la peinture et les mots… Il ne sait pas ce qu’il fera quand il sera grand !

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