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Flora
L’auteur à succès du mois : Brice Najar
Nous avons le plaisir de vous présenter » L’auteur à succès du mois « , Brice Najar et son ouvrage Michael Jackson : Itinéraire d’un passionné qui s’est vendu à plusieurs centaines d’exemplaires en 2013.
Depuis quand écrivez-vous ?
J’écris depuis l’enfance. Puis, j’ai perdu de vue l’écriture à un moment donné de ma vie. Afin de poursuivre ma vie professionnelle, j’ai dû mettre cette passion en veilleuse. Puis, j’y suis naturellement revenu, il y a 2-3 ans. J’ai d’abord écrit sur Internet en allant sur des forums de passionnés. Mais, j’avais envie d’aller plus loin. Poussé par mes lecteurs, de bons retours et des encouragements, j’ai décidé de continuer et de persévérer dans cette voie.
Quel est votre passé en tant qu’auteur ? Cet ouvrage est-il votre première publication ?
Michael Jackson : Itinéraire d’un passionné est mon premier ouvrage. J’ai entamé son écriture, il y a un peu plus d’un an. Cet ouvrage est une très belle aventure. Lors de sa rédaction, le but que je m’étais fixé était de l’achever. C’était pour moi une sorte de challenge et une façon d’avancer dans ma vie. Un défi que j’ai su relever.
Pourquoi avez-vous écrit ce livre et quelles ont été vos sources d’inspiration ?
J’ai tout simplement combiné mes 2 passions : l’écriture et Mickael Jackson. J’ai rédigé sur Internet puis, à force, j’avais envie de laisser une réelle trace de mes productions. Internet n’était pas la bonne solution pour les immortaliser car vos écrits sont toujours dépassés par des productions plus récentes. J’ai donc décidé de publier mes billets et de les pérenniser avec un livre. Une manière pour moi de laisser une réelle trace et une belle façon de s’exprimer.
Pourquoi avoir choisi ce titre ? Pensez-vous qu’il ait bénéficié au succès de l’ouvrage ?
Dans mon titre, je voulais laisser planer le doute et attirer la curiosité des lecteurs. J’avais envie que mon titre donne envie. C’est un élément qui a toute son importance. Mais je ne suis pas certain que cet élément explique seul son succès. Je n’ai pas hésité pour le choisir. Il était défini depuis le début, j’ai n’ai eu aucune hésitation sur cet élément. Etant donné que je n’avais pas deux opportunités de titres, je ne peux pas envisager un autre scénario si le titre avait été différent.
Comment avez-vous connu Edilivre et pourquoi avez-vous décidé de publier chez Edilivre ?
J’ai une amie qui a édité le récit de sa vie personnelle, écrit par une personne tierce, avec Edilivre. Je suis allé visiter leur site internet et je me suis lancé, j’ai déposé uniquement déposé mon manuscrit auprès de cette maison d’édition car j’étais parti sur cette idée-là. J’ai trouvé cette maison jeune, dynamique et en pleine ascension. Ces valeurs correspondaient à mon ouvrage et étaient en cohérence avec mon état d’esprit. Elle m’a donc fait part de cette maison d’édition.
Comment s’est passée l’édition de votre livre chez Edilivre ? Avez-vous été satisfait de nos services et de notre accompagnement ?
Le processus de publication s’est très bien passé. On m’a tenu informé des différentes étapes de publication au fur et à mesure. La correspondance avec Edilivre était vivante. C’était une bonne expérience. De cette première aventure, je retiens que j’aurais dû faire une relecture plus approfondie du BAT de mon ouvrage. J’étais tellement excité, que ne pouvant plus d’attendre la publication, j’ai lésiné la relecture du BAT ce qui m’a valu d’effectuer des modifications post-publications. Je conseille donc à tous les auteurs d’effectuer des relectures très approfondies et sans précipitation de leur BAT. Il ne faut pas se presser et vraiment prendre son temps. Ne vous inquiétez pas, votre ouvrage verra forcément le jour donc laissez-lui le temps et appliquez-vous dans ce processus. Cela vous permettra d’assurer la diffusion d’un ouvrage comportant le moins de coquilles possibles.
Pourquoi avez-vous fait le choix d’une couverture personnalisée ? Pensez-vous que celle-ci ait bénéficié au succès de votre livre ?
La photo de couverture de mon ouvrage est constituée de tous les vinyles de ma collection posés sur le sol. C’est le reflet du contenu de mon ouvrage. Je voulais montrer mon côté amateur à travers mes disques. Je tenais réellement à ce que la couverture me ressemble et reflète le contenu de mon livre.
Expliquez-nous comment avez-vous réussi à vendre plusieurs centaines d’exemplaires de votre ouvrage sur un an ?
Au départ, je me suis directement dit que la conception et l’édition de mon ouvrage n’était pas une fin en soi. J’étais motivé pour me battre et faire un maximum de publicité pour faire connaître mon ouvrage. La grande chance d’Edilivre : c’est que votre œuvre est très bien distribuée sur les différentes plateformes numériques et sur Internet. Il faut jouer de cet avantage, l’utiliser à bon escient et au maximum, ce que j’ai fait. J’ai également échangé avec mes lecteurs via la page Facebook et mon compte Twitter de mon ouvrage. Lors des événements et salons, c’est une réelle occasion de les rencontrer et de partager avec eux. Il faut également prendre en compte le fait que vos lecteurs sont des relais importants dans le bouche à oreille. Chaque individu est intéressant, il faut donc l’écouter et échanger avec eux.
Quel a été votre investissement personnel dans la promotion de votre livre ?
J’ai fait de la publicité sur les forums où j’écrivais. J’ai également fait passer le message à des spécialistes dans ce domaine notamment au rédacteur en chef d’un magazine spécialisé. Je garde un bon souvenir de ma promotion. J’ai également tendu des extraits de mon oeuvre à un des membres du groupe Toto lors de leur concert à Chambéry. Lorsque je lui ai donné les feuilles, il m’a serré la main. Un très bon souvenir !
Une grande partie de vos ouvrages a été vendue en librairies, quelles démarches avez-vous effectué auprès d’eux ? Avez-vous mis en place des séances de dédicaces ?
J’ai mis en place une séance de dédicaces à la FNAC de Genève. Les responsables du rayon Librairie m’ont très bien accueilli et cela s’est très bien passé. Je suis également allé démarcher un à un les libraires de ma région.
Que vous a apporté votre participation au Festival du Livre de l’Argentière la Bessé ?
Participer à des salons est une très belle expérience. C’est une réelle opportunité pour échanger avec les autres auteurs et vos lecteurs. Ce salon a été très constructif pour moi. Je prends tous ce qui est bon à prendre. Il faut être motivé dans la promotion de son ouvrage. N’importe quelle action est positive !
Avez-vous l’intention de participer à d’autres salons ? Pourquoi souhaitez-vous y participer ?
Je serais présent cette année au Salon du Livre de Paris et à la Foire du Livre de Bruxelles. Ce sera pour moi une nouvelle étape dans la promotion de mon livre. Ces participations nécessitent de se déplacer et un investissement financier mais c’est toujours une très belle et très enrichissante aventure humaine.
Quels outils fournis par Edilivre vous ont été utiles pour faire croître vos ventes ? Avez-vous utilisé des marque-pages, cartes de visite, affiches ou livres prestige ?
Les cartes de visite et marques-pages me sont toujours très utiles. Et les affiches également. Je les ai faites gagner lorsque j’ai organisé un concours sur la page Facebook de l’ouvrage. Lors d’un concert en hommage à Mickael Jackson, en août dernier à Bruxelles, j’étais dans la file d’attente. J’ai profité de cette occasion pour distribuer des cartes de visite aux personnes qui m’entouraient. Ces supports de communication sont toujours très utiles et peuvent nous venir en aide pour promouvoir notre œuvre. Il ne faut pas en minimiser l’utilité.
Comment avez-vous bénéficié d’articles dans la presse ? Comment s’est déroulé le contact avec les journalistes ?
Pour l’article dans le Dauphiné libéré, j’ai contacté le correspondant local de mon secteur. C’était très simple. Je vous invite à en faire de même. Vous allez le contacter et il sera ravi de faire un article sur vous. Concernant l’article dans le magazine spécialisé Backstage, j’ai envoyé un courrier et j’ai eu un très bon contact avec le rédacteur en chef qui m’a même proposé de collaborer dans l’une de ces rubriques. D’ailleurs, une interview à propos de mon ouvrage paraîtra prochainement dans ce magazine. J’ai également été interviewé sur France Bleue Savoie suite à l’envoi d’un mail. La journaliste a même fait gagner des exemplaires de mon ouvrage pendant une semaine.
Le 17 juillet 2013, votre ouvrage était premier des ventes sur le site Amazon dans la catégorie Variétés. Comment s’est déroulée cette mise en avant exceptionnelle ? Vous attendiez-vous à cela ?
Ce fut une très belle surprise ! C’est un souvenir qui restera gravé à jamais. Ce classement bouge sans arrêt et je m’en suis aperçu juste au bon moment, tout à fait par hasard. Je ne sais pas vraiment ce qui s’est passé. Je pense que le bouche à oreille a bien fonctionné. J’ai eu de très bons échos lors de la sortie de mon ouvrage et cela a fait son petit bonhomme de chemin.
Vous avez créé des pages Facebook et Twitter pour promouvoir votre livre. Qu’est que cela apporte ? Et comment animez-vous ces pages ?
C’est avant tout un moyen pour moi d’être proche de mes lecteurs. Je diffuse toujours des actualités en rapport avec mon ouvrage. Il est important de faire vivre au maximum les pages consacrées à votre œuvre sur les réseaux sociaux. L’échange entre un auteur et ses lecteurs est très important. Ces 2 supports sont le moyen de faire connaître mon livre puis de rester en contact afin de faire perdurer le lien avec les lecteurs. Pour faire connaître ces 2 pages, j’ai signalé le lien de la page Facebook sur Twitter et inversement. J’ai également effectué de la publication payante sur Facebook où il faut juste miser un petit budget au départ. Ce n’était pas extravagant. Au démarrage, j’ai donc investi dans la publicité payante puis après quand un petit noyau s’est formé, cela a fait un effet boule de neige. Avec les partages, de plus en plus de gens ont été au courant de ces pages et les ont rejointes. Il faut bien s’investir dans les réseaux sociaux, c’est essentiel pour faire connaître son ouvrage. C’est un moyen très simple et qui ne coûte pas beaucoup d’argent. Je le conseille vivement à tous les auteurs de créer des pages à l’image de leurs livres sur différents réseaux sociaux.
Vous attendiez-vous à un tel succès ?
Mon premier objectif était d’immortaliser mes écrits et d’aller jusqu’au bout de ma passion. Puis, je me suis pris au jeu de la promotion. Ce qui impose une certaine rigueur. Mais il faut que cela reste un plaisir et je laisse parfois les choses se faire toutes seules. Je ne m’attendais pas réellement à ce succès. Je pense que les choses évoluent comme elles le veulent. Je n’ai pas de certitudes. Je ne m’étais pas fixé d’objectifs concernant la diffusion de mon livre.
Quels conseils souhaitez-vous donner aux autres auteurs Edilivre qui lisent cette interview afin de promouvoir leur livre ?
Il ne faut jamais voir le verre à moitié vide mais à moitié plein. Etre toujours optimiste. Un état d’esprit positif est la clé pour réussir. Même si des choses s’avèrent être compliquées, il faut les combler en investissant du temps pour s’améliorer. Etre positif est donc le meilleur moyen d’avoir le bon résultat.
Quels sont vos futurs projets d’écriture ou autres ?
J’ai finalisé l’écriture d’un deuxième ouvrage sur le roi de la pop. Cet ouvrage est actuellement en cours de publication chez Edilivre. Il devrait donc paraître prochainement. Celui-ci traitera d’un univers différent du premier. Ce n’est pas une suite mais une sorte de complément. Je ne vous en dis pas plus et vous laisse le plaisir de le découvrir très bientôt.