Annabelle Roussel à l’honneur sur RCF Radio

Annabelle Roussel a été diplômée en Lettres Modernes par l’Université Michel Montaigne de Bordeaux. Éprise d’une perpétuelle soif de liberté, elle aime les univers où l’espace et le silence accompagnent la rêverie et la pensée.  
Auteure d’engagements dont la volonté est de réenchanter le monde et résister à l’ignominie, comme le préconise un poète qu’elle affectionne beaucoup en la personne de Sony Labou Tansi.
Elle participe également à la création d’une bibliothèque en Guinée Konakry afin de promouvoir les échanges culturels et la lecture.     

Que ces nouvelles vous donnent envie de vous engager et d’imaginer un monde meilleur. Que l’expérience de ces mots soit une récréation et une invitation à vous parcourir :

« Mort à profit » est écrit comme un roman noir. Il retrace le parcours d’un enfant esclave du cacao dont l’existence bascule à la mort de son maître.

« Futur antérieur » est un récit de science-fiction. Deux anthropologues du futur nous replacent à l’échelle de la préhistoire. Tout va-t-il pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles ?

« L’héritage mystique » est une nouvelle fantastique. Dieu mort, chaque homme reçoit un mot en héritage mais Aristide reçoit le trait d’union. Que va-t-il en faire ? »

Marina » explore les complexes de l’adolescence, l’émergence du désir et de la conscience de soi.

Si la poésie est monde, si au regard des brassages humains toute pensée est métisse, alors la langue est un territoire perméable aux chants des autres et nos identités se forgent à l’écho des empreintes. Ce recueil illustré par des plasticiens de mémoires et de cultures différentes est une invitation à sortir du cadre, de nos frontières; un hymne à la beauté, un appel à la paix. Ici la poésie métamorphose l’amer en doux, l’indicible en musique, l’émotion en image.
Ici la poésie inspire au lecteur le désir de vivre ardemment. Ici la mémoire n’est plus une souche morte mais une énergie créatrice qui nous connecte à la magie universelle du monde. Ici commence la lecture amoureuse d’un temps où chacun est invité aux merveilles du langage.

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